Dans le prolongement de son intervention au colloque de Lyon de 2013 : « Outils pastoraux et lecture biblique » paru dans Sémiotique et Bible n°157, Jean Loup Ducasse présente un projet de laboratoire, accompagnant un secteur pastoral dans sa pratique sacramentelle (notamment baptêmes, mariages, obsèques). On y élaborera des procédures d’accompagnement des laïcs et ministres ordonnés appelés à ce service, ainsi que des demandeurs de sacrements. On créera des livrets pour les uns et les autres, cohérents avec la pratique de lecture biblique pratiquée au CADIR et avec ce qu’elle renouvelle dans l’approche des sacrements et dans la rencontre des personnes.
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Point de départ : du renouveau de la lecture biblique à celui de la pastorale

La visée de cette proposition est résolument pastorale. Son point de départ est l’heureux bouleversement provoqué dans la pratique pastorale par le renouvellement de la lecture biblique.
Le chemin pastoral, la voie qui s’ouvre aux brebis à la suite de leur Pasteur, est parfois semée d’embuches, comme si l’accès à chacune des composantes du chemin était problématique, voire dangereux. Nous considérons que ces composantes, articulées, sont les suivantes,
la lecture biblique, comme lieu privilégié d’écoute de la Parole qui appelle. L’accès à la lecture a été longtemps – et demeure pour large part – « soumis à conditions ».
les sacrements, comme don de la grâce, de l’énergie de Dieu. Ils sont souvent perçus comme peu accessibles, parfois interdits.
la vie fraternelle, où se tissent les liens entre membres du corps du Christ. Sa première manifestation n’est-elle pas l’accueil pastoral de toute personne s’adressant à l’Église ? Or cet accueil demeure souvent vécu, au moins chez les demandeurs, dans un climat de contrôle, sinon de soupçon, quant à la qualité de leur motivation.
Précisons qu’il ne s’agit pas de stigmatiser une volonté d’interdire, ni toujours ou principalement des interdits formels, mais de repérer des fonctionnements le plus souvent inconscients et de fait peu autorisant. Reprenons plus précisément chacune des composantes.

 

  1. Accès à la lecture biblique

Nous lançons ce projet car la sémiotique a bouleversé notre rapport à la lecture. La connaissance des contextes historiques de production des livres de la Bible, ou encore celle de leurs genres littéraires, ne sont plus le passage obligé pour leur compréhension. L’accès au texte n’est pas réservé aux savants, ou livré à une piété surfant sur le texte sans se risquer à sa lecture. Le texte est libéré des soupçons portant sur son authenticité. La lecture a été progressivement dégagée de la prétention de mainmise sur un savoir, pour être rendue à sa vocation de lieu d’accueil permanent de la Parole vivante. Tout cela nous est venu en même temps que nous avons appris à considérer le texte comme un ensemble signifiant, puis à en observer la mise en discours, la construction narrative, les parcours figuratifs, enfin l’énonciation. Mais ne revient-on pas là au discours savant ? Certes, une théorie de la lecture est indispensable, et le risque demeure de vouloir faire passer tout lecteur par la théorie. Pourtant le théoricien peut se faire serviteur, balisant le chemin à ouvrir au lieu de le barrer d’interdits ou de préalables paralysants.
L’expérience est là. Nous sommes un certain nombre à constater tous les jours qu’il est possible et heureux de lire le texte biblique avec toute sorte de personnes. Cela se fait en préparant la lecture par la qualité et la discrétion de la rencontre avec elles. Puis l’on soutient leur attention aux aspects et aspérités du texte, non pour imposer notre lecture, mais pour autoriser la leur, et la nôtre avec eux. Chemin faisant il arrive que l’on accède ensemble à un point de vue qui rend compte, pour ceux qui lisent, de l’ensemble d’un texte, qui semblait pourtant à première vue obscur, disparate. Alors les moins érudits ne sont pas les derniers à lire : c’est-à-dire à accepter de se laisser déplacer par la lecture, puis à se risquer à une interprétation qu’autorise le texte et qui résonne dans leur chair. L’ascension peut être rude. Mais elle est possible.

 

  1. Accès aux sacrements

Le même type de bouleversement s’est répercuté dans la pratique sacramentelle, qui met elle aussi en œuvre des parcours figuratifs, des chaînes signifiantes. D’une part la lecture proclamée de textes bibliques se trouve au cœur de toute liturgie. De plus l’approche mise en œuvre pour le texte biblique a modifié notre approche du rituel. Elle a dilaté notre lecture des textes non bibliques qu’ils contiennent. Par exemple nous ne nous bornons pas à considérer le credo comme une série de vérités à croire, juxtaposées. Nous le lisons comme un parcours figuratif, qui dilate notre espace/temps/acteur, nous ouvrant à celui du « monde à venir ». Quant aux rubriques, cette approche nous a fait sortir du dilemme entre les postures de prisonniers de la lettre du rituel (pour qui toute interprétation est suspecte) ou de bricoleurs de rites (qui les transforment en méconnaissant leur structure propre en se laissant aller selon leurs convenances). Les rubriques elles aussi donnent lieu à interprétation ! Enfin la Bible oriente résolument la pratique sacramentelle vers l’énigme du corps promis. Nous y reviendrons.

 

  1. Accès à la vie fraternelle et à l’écoute

L’effet de bouleversement gagne encore l’écoute pastorale. L’entrainement à la lecture biblique affine l’écoute attentive des personnes. Cela permet de percevoir, dans l’expression de tout un chacun, autre chose que le discours convenu et répétitif de son milieu, de sa position sociale, de ses dispositions culturelles, ou encore de sa névrose ou de tout autre détermination. Comme dans le texte biblique, les failles du discours indiquent ce qui se cherche, dans la personne écoutée, et offre à l’oreille du pasteur ce qu’il lui faut pour s’affranchir des a priori et classements (croyants/incroyants, sachant/ignorants, pratiquants/non pratiquants). L’obsession du contrôle tombe. La lecture biblique renouvelée ayant conduit à quitter l’obsession du sens et de la moralisation, la voie s’ouvre pour la rencontre. On se laisse surprendre les uns par les autres.

 

  1. Triple conversion dans l’action pastorale

La redécouverte de l’énonciation est au cœur de ce bouleversement, de cette triple conversion, son enjeu est l’avènement du corps promis. Je paraphrase des choses entendues de Jean Calloud :
Dans les bruits du monde (et j’ajoute dans les remous de la vie pastorale), laisser venir des signifiants d’une chaîne esquissant une figure du corps, à la manière de ce qui se donne à lire dans la Bible, esquisse d’une figure du corps perceptible sur notre terre. Choses cachées depuis la fondation du monde, mystère du corps qui advient.
Reste à traduire cette conversion dans le quotidien de la pratique pastorale ordinaire. Cela suppose l’analyse critique des montages liturgiques, sacramentels, catéchétiques, qui sont dans nos têtes (nos représentations), et s’inscrivent dans les outils pastoraux (revues, fiches, parcours catéchétiques, et autres documents proposés aux demandeurs d’actes pastoraux et à ceux qui les accompagnent). En effet tous ces montages orientent l’action pastorale, pour le meilleur et pour le pire, et le plus souvent à l’insu de ceux qui les utilisent. Il s’agit de repérer ce que ces documents comportent comme chances et obstacles, pour la lecture, pour l’écoute, pour l’ouverture à l’énigme du corps. Cela demandera une grande vigilance. Le corps fait l’objet de bien des fantasmes qui ont peu à voir avec l’avènement de celui du Christ ressuscité. Ensuite l’analyse critique ne saurait suffire. Il est plus que temps de créer et diffuser des outils pastoraux cohérents avec ce que la lecture biblique nous permet de découvrir.

 

 

Opportunité

L’intérêt grandissant que porte le CADIR, aux plans national et international, à la pratique de lecture sous ses formes les plus diverses et la série des derniers colloques de Lyon encouragent ce travail.
La pratique de lecture biblique impulsée depuis quarante ans à Bordeaux, en Gironde et au-delà, par Jean-Pierre Duplantier et poursuivie par d’autres laïcs et prêtres, a suscité de l’intérêt et des attentes dans ce domaine de la part de nombreuses personnes – laïcs et ministres ordonnés. Parmi elles certaines sont susceptibles de suivre la chose ou d’y collaborer : préparation de traduction de textes du lectionnaire, participation au laboratoire, recueil de notes, maquette en vue de publications… etc.
Arrivant en septembre 2015 au temps dit de la « retraite » je peux enfin espérer disposer de temps pour articuler une activité pastorale ordinaire plus modérée et un temps de relecture, avec d’autres, permettant de perpétuels réajustements dans l’action pastorale et la création d’outils pastoraux cohérents avec la lecture biblique.

Proposition : créer un laboratoire d’étude, de recherche et de création d’outils pastoraux

Qui dit laboratoire entend articulation entre :
une pratique pastorale ordinaire locale (Baptême, Mariage, Obsèques, pour commencer, mais ce type de démarche peut s’appliquer à tout type de pastorale)
une réflexion sur cette pratique, inspirée par ce que la lecture biblique nous a donné à découvrir depuis quelques décennies (ateliers de réflexion, sessions de formation, etc.)
une création d’outils pastoraux (livrets à destination des demandeurs de sacrements ou sacramentaux) cohérents avec cette découverte et dont la viabilité sera vérifiée dans un contexte déterminé

 

 

Méthode

  1. L’articulation de trois pôles préside à l’approche du matériau que travaille le laboratoire.

  • Le texte biblique dont nous nous employons à favoriser la lecture, comme lieu d’écoute de la Parole. On favorisera en particulier cette lecture de la part des demandeurs de sacrements (souvent considérés inaptes à la pratiquer).
  • Les sacrements ou sacramentaux (gestes, rituels, espaces), impliquant le corps, orientés vers l’avènement de l’énigme du corps. Nous avons là aussi de quoi lire : le rituel, les espaces offerts à la liturgie…
  • L’attention aux personnes considérées comme des corps parlant, en chemin vers le corps promis, et par conséquent l’attention aux liens qui se tissent avec et entre elles (visant la vérité de la rencontre). Nous disposons et collecterons des notes d’entretiens et monographies contenant des expressions de personnes impliquées dans la préparation et la célébration des sacrements.

 

  1. Travail privilégié sur des écrits.

Or, qu’il s’agisse de la Bible, des sacrements ou des personnes, nous disposons en chaque cas de textes à lire : le texte biblique, les rituels et les espaces de la liturgie, des monographies de rencontres pastorales ou vidéos de célébrations. C’est donc un même type de matériau : des textes, que nous avons à travailler avec un même mode de lecture. Cela assure l’homogénéité et la pertinence de l’approche dans les trois domaines ainsi que la rigueur de l’ensemble. La distinction des domaines permet de se donner des objets de recherche et des objectifs de création précis et délimités. Leur articulation permet d’éviter de déséquilibrer l’analyse, la réflexion, la création, en oubliant des points importants.
On veillera donc à vérifier que demeure cette articulation des trois domaines, que ce soit dans le travail d’analyse, d’accompagnement des demandeurs de sacrements ou de formation de ceux qui les reçoivent, et bien sûr dans la mise en œuvre des sacrements, et enfin dans la présentation des outils pastoraux.
Cette même articulation permettra aux acteurs impliqués dans la pastorale de poursuivre entre eux leur « formation » par une lecture périodique renouvelée de textes bibliques, d’éléments du rituel, et d’épisodes de leur expérience. C’est ce que proposent les « ateliers », instances locales de formation, dont nous reparlerons.

 

  1. Orientation vers l’énigme du corps.

L’acte de lecture étant au carrefour de tous les aspects de ce travail, il importe qu’il prenne en compte le travail théorique sur la lecture élaboré depuis des années, dans les différentes instances du CADIR. Or ce travail ne concerne pas seulement le texte biblique, puis ce qui est à lire dans les sacrements, mais aussi les lecteurs. Il nous amène à être attentifs aux chaînes signifiantes de leur propre expression. Cela nous déloge de toute tentative de mettre la main sur le sens, de diriger les personnes, de maitriser les gestes. Un nouvel art de célébrer peut advenir. Nous entendons par là que les acteurs impliqués dans la célébration – certes préparent avec soin les lectures, les lieux, les gestes, les mouvements – mais cela non pas en vue de réussir une cérémonie impeccable. Il s’agit plutôt de se rendre disponible à l’événement que constitue tout sacrement. De même que la lecture n’est pas répétition d’interprétations certifiées par des experts, l’écoute des personnes n’aboutit pas à leur classement dans des catégories préétablies, et le sacrement n’est pas un rite. La Parole vivante ne cesse de faire toute chose nouvelle. Le sacrement nourrit dans notre condition précaire l’attente d’un réel qui vient, là où nous persistons à désirer le perfectionnement de l’humaine condition. C’est une heureuse nouvelle, qui réveille notre désir, car la vie est promise. Or cette vie advient là où l’on consent à la perdre comme objet de possession. Le sacrement se situe à ce lieu et à ce temps charnière, en référence au parcours pascal de Jésus, là-même où à défaut de savoir et de saisir, il est offert de croire.
Si l’on prend la question à partir de la démarche des demandeurs de baptême, de mariage, d’obsèques (entre autres), on remarque que le corps est impliqué dans toutes ces demandes, à des moments décisifs de l’existence. Mais de quel corps s’agit-il ? Certes il s’agit bien de la réalité corporelle palpable de tel bébé né depuis peu, de tel homme et de telle femme projetant de vivre ensemble et de s’aimer, de tel défunt que l’on accompagne. C’est donc bien du corps expérimenté qu’il s’agit. Or le sacrement ouvre un passage dans cette condition corporelle, que nous savons d’ailleurs précaire, provisoire. Souvenons-nous de la parole du crucifié ressuscité. N’a-t-il pas dit :  » élevé de terre j’attirerai tout à moi » ? Cette parole va rejoindre chacun au lieu de son expérience. Or cette expérience, corporelle et spirituelle, est à la fois celle du désir de vivre le plus fort et de la vive conscience des limites de notre condition mortelle. Tous les sacrements et sacramentaux convergent pour ouvrir à chacun, dans sa condition présente, la promesse d’un corps qui vient. Ils ne promettent pas l’exaltation de l’humanité. Ainsi le sacrement de baptême honore mais ne sacralise pas le bébé. Le sacrement de mariage honore mais ne sacralise ni l’homme, ni la femme ni le couple. Le sacramental des obsèques honore mais n’exalte pas les vertus du défunt. Cependant, pour tous les corps ainsi concernés s’ouvre la perspective du Corps du Christ en gestation, dont ils sont les membres en devenir. C’est l’attente active de la pleine révélation de ce mystère de la foi qu’il s’agit de servir, alors même qu’il nous échappe. Il nous revient d’humblement le demander.

 

 

Objectifs pour un commencement

  1. L’urgence

La pastorale des baptêmes des tout petits, des mariages et des obsèques. Ce sont en effet trois lieux de rencontre à des moments décisifs du parcours des humains. Moments par ailleurs pris en compte aussi par les instances laïques de la société (inscription aux registres civils – célébration du mariage civil, parfois du baptême républicain). Les personnes concernées sont souvent peu familières des textes bibliques. Pourtant, avec eux, l’expérience de la lecture, forcément limitée dans le temps, s’avère très fructueuse. Et le partage de cette expérience est susceptible de déplacer considérablement le malentendu fréquent entre pasteurs et brebis.

 

  1. Le lieu géographique

Le lieu géographique du laboratoire est une unité pastorale de base : un secteur pastoral, où se vit et s’organise la pastorale locale. Le projet du laboratoire est élaboré en relation avec le clergé et les responsables laïcs, il implique les personnes engagées dans l’accueil, la préparation, la célébration des sacrements et le suivi des personnes ainsi rencontrées. Il peut être élaboré également en relation avec le responsable de la pastorale liturgique dans le diocèse. A Bordeaux il travaille de longue date dans cette perspective, ainsi qu’avec des personnes engagées dans le CADIR Aquitaine.

 

  1. Formation

La première phase consiste en un accord avec une unité pastorale, la préparation du terrain par un état des lieux, et la décision de sessions de formation. Ces sessions portent sur les trois pôles définis précédemment. Elles sont animées par des personnes en mesure de permettre une approche cohérente des textes bibliques, des rituels et des monographies. L’idéal est que les équipes chargées des pastorales en question p-arviennent – après avoir vécu de telles sessions – à mettre en place leur propre formation locale permanente. C’est ce que nous appellerons l’atelier (baptême, mariage, obsèques, etc.). Le principe de fonctionnement est de permettre aux acteurs intervenant en un lieu (laïcs et ministres ordonnés) de se retrouver périodiquement autour de textes bibliques, d’aspects du rituel, de monographies sur l’expérience locale. Ils restent ainsi dans la vigilance qui entretient l’attente de la promesse. Ces ateliers peuvent jouer un rôle dans la vie pastorale locale par leur ouverture à de nouveaux membres et leurs interventions dans la liturgie dominicale ou pour les fêtes. L’atelier baptême (élargi à la préparation des catéchumènes trouvera notamment sa place dans la préparation et la mise en œuvre de la veillée pascale).

 

  1. Création d’outils pastoraux

Conscients de l’utilité d’outils pastoraux, tels les revues Fêtes & Saisons et Signes, parmi d’autres, nous envisageons de pousser plus avant la production d’outils plus cohérents avec la lecture biblique évoquée.
La différence avec ces revues portera notamment sur trois points articulés :

Le rapport à l’Écriture :

  • Traduction des textes (la nouvelle traduction liturgique officielle, bien que supérieure à la précédente, laisse les principaux problèmes non résolus : clôture des textes, coupure de passages, traductions pas encore assez précises laissant courir des malentendus ;
  • Présentation des textes qui habilite à la lecture, à l’écoute d’une parole, plutôt que de suggérer au lecteur le sens ou quelque attitude morale à mettre en pratique ;
  • Élargissement de l’échantillon de textes proposés, voire incitation à une recherche personnelle.

Le rapport au Sacrement, qui s’inspire de l’acte de lecture :

  • Lecture du rituel (et des notes pastorales introductives) ;
  • Orientation du propos vers la constitution du corps du Christ ;
  • Éviter toute prétention à expliquer les symboles, mais mise en relation des gestes de la liturgie avec des paroles bibliques et des chants qui s’en inspirent ;

Le rapport à l’Église locale, aux personnes rencontrées, aux lieux de culte :

  • Livrets actualisés selon la pastorale locale, ses lieux d’accueil et de rendez-vous ;
  • Présentation des lieux de culte avec leurs particularités ;
  • Proposition de protocoles de rencontres
    • avec l’assemblée dominicale,
    • avec l’équipe d’accueil au sacrement ou sacramentel concerné,
    • avec d’autres couples ou familles concernées par le baptême ou le mariage.
  • Proposition de catéchèse mystagogique (postérieure à la réception des sacrements et visant à relire ce qu’ont vécu les récipiendaires)
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    NB. La question de l’édition se posera nécessairement. Elle ne paraît pas urgente, car internet permet de communiquer des expériences et de prendre du temps avant de leur donner une forme plus stable. Par ailleurs l’usage de l’informatique offre une souplesse qui favorisera le soutien de productions locales – en divers secteurs. Pour le moment les contraintes qu’impose l’édition risqueraient de nuire à la visée du projet.

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